Des MAN nouvelle génération pour Trans’Avenir
Trans’Avenir, basé à Feyzin dans le Rhône, vient de recevoir deux MAN nouvelle génération pour renouveler sa flotte. Un tracteur MAN TGX et un porteur MAN TGM rejoignent ainsi le parc des quelques cinquante véhicules de l’entreprise, dont un MAN TGX livré en juillet dernier.
« Notre flotte est composée à 90 % de camions MAN. Outre les véhicules qui nous donnent entière satisfaction, le service et la réactivité du personnel MAN nous confortent dans nos choix », déclare Rais Bouchenak, gérant de Trans’Avenir.
Parfaitement équipé, le MAN TGX nouvelle génération de 580 ch est doté de la cabine GX offrant au conducteur un confort de conduite optimal. Sa hauteur intérieure, grâce au tunnel moteur très bas crée une impression d’intérieur dégagé et permet de se mouvoir parfaitement à l’aise. Le moteur D3876 de 15,2 litres de cylindrée est parfaitement adapté aux transports longue distance. Spécialement équipé par FCP, Fabien Calvet Promotion, il bénéficie de barres aluminium, de rampes de phares… qui lui permettent de véhiculer une image particulièrement positive de l’entreprise.
Destiné à des trajets sur l’ensemble de la France, aussi bien vers le sud que vers le nord, au départ de Feyzin, il pourra remplir ses fonctions sans le moindre souci. Rappelons que le MAN TGX nouvelle génération a reçu le prix de Truck Of The Year 2021.
Le MAN TGM, le premier TGM de distribution livré en région lyonnaise, est quant à lui dédié aux tournées régionales en transport express. Doté d’une caisse Lebrun, ses 290 ch absorberont sans problème les routes des départements du Rhône et de l’Isère. Le nouveau moteur D0836 réduit sensiblement les émissions d’oxydes d’azote et de particules grâce à la technologie SCR et au filtre CRT.
Crée en 2010, Trans’Avenir est fidèle à MAN. Le parc est aujourd’hui composé essentiellement de véhicules de la marque. « La réactivité du personnel MAN pour le service après-vente, la mise en main et le financement nous permettent une confiance et une considération totale », conclut Rais Bouchenak.